Nombreuses sont les maladies auxquelles un être humain peut être confronté. Elles n’épargnent aucune zone du corps. Parmi elles, il y a les formes de maladies qui touchent le tissu cutané et particulièrement, les poils ou/et les cheveux.
Enfin de compte, les scientifiques reconnaissent qu’un poil est, en fait un cheveu et que leurs caractéristiques sont identiques malgré leurs différentes appellations, en langue française.
Dans ce cadre, une maladie se démarque. C’est la pelade. Autrement appelée scientifiquement : alopecia areata. Cette maladie n’a rien de grave, mais elle crée des inquiétudes et des gênes d’ordre esthétique. En effet, ses effets sont la perte des poils et des cheveux en plaques.
Dans cet article, on essayera de revenir sur les causes de cette maladie. Mais, aussi, on reviendra sur les moyens de prévention de traitement, et spécialement sur les causes.
Il y a une chose qui est sûre concernant les causes. La principale cause de la perte des poils et des cheveux est, sans doute, héréditaire. C’est-à-dire génétique.
La pelade est reconnue comme une infection auto-immune. Les anticorps d’un organisme ayant cette maladie se retournent sur les follicules pileux, causant de cette façon la perte des poils et des cheveux.
Ceci dit, on ne connaît pas les causes exactes de la pelade. Même qu’il est probable que l’environnement vital d’une personne ait sa participation à l’apparition de cette maladie. Il y a plusieurs autres éléments intervenant tels que le stress et l’anxiété. Tous ces facteurs ont des rôles à remplir dans l’apparition de la pelade, néanmoins, ils restent secondaires.
En voici une question qui peut faire rire plus d’un. En effet, la pelade n’est pas du tout sexiste ni raciste. Elle attaque monsieur et madame tout le monde. Oui, la pelade des cheveux ou de la barde ne rate personne. Elle s’attaque aux femmes tout autant qu’aux hommes, et même les personnes de moins de vingt ans.
Néanmoins, il faut mentionner que quelques personnes sont touchées de façon cyclique. Les professionnels attribuent cette redondance aux effets de l’environnement.
Il faut administrer des corticoïdes au patient. Généralement, c’est ce que font les dermatologues pour des applications par voie générale ou locale. La voie générale se fait par comprimés ou par injection. L’objectif d’une telle intervention, c’est d’essayer d’arrêter l’inflammation. Les médecins peuvent proposer, des fois, un traitement par ultra-violet, appelé « Puvathérapie ». Il arrive que la maladie soit sévère et une hospitalisation devient indispensable pour pratiquer un traitement immunosuppresseur.