Dans un article intitulé L’adoption à l’étranger s’effondre, Le Figaro constatait la chute de l’adoption dans la plupart des grands pays qui accueillent à travers des familles, des enfants étrangers. C’était soulignait-on dans cet article signé par Anne Sinclair, le cas des « Etats-Unis et l’ensemble des pays européens ». Qui ne sait pas l’attachement que Madonna donne à adopter des enfants ? Et que dire de toutes ses autres familles qui souhaitent adopter des enfants mais qui n’ont pas la célébrité de Madonna et son argent ? Il y a de plus en plus un durcissement des lois par les pays d’où partent ces enfants. On connaît le scandale de L’Arche de Zoé, même s’il n’a jamais été prouvé un trafic d’enfants. Sans oublier qu’au nombre des enfants adoptés, certains sont au-dessus de l’âge légal ce qui complique davantage les choses.
L’adoption dans chaque pays est soumise à une législation en vigueur. Il est important de la maîtriser avant d’entamer une procédure d’adoption. Cette loi dans un pays comme la France fixe les conditions similaires autant pour l’adoption à l’étranger que dans le pays même. Ces conditions stipulent au-delà du fait de respecter l’âge prescrit, d’obtenir auprès du service d’aide à l’enfance dans le département d’origine du demandeur, un agrément.
Au nombre des mesures à prendre pour l’adoption à l’étranger, il faut absolument se conformer à la législation du pays d’origine de l’enfant. Certains de ces pays n’ayant pas ratifié la convention de la Haye, les procédures d’adoption sont inexistantes ou ont été supprimées. Mais au cas où l’adoption se fait dans un pays régit par la Convention de la Haye, la procédure d’adoption doit se faire en passant par un organisme autorisé pour les questions d’adoption ou en passant par l’Agence française de l’adoption (Afa).
Les procédures d’adoption d’enfants ne sont donc pas les mêmes pour les familles françaises que les familles belges, etc. D’où la nécessité de se rapprocher des services compétents.